Christophe Mboso a eu des échanges avec ses administrés. C’était pour éclairer la religion des agents et cadres de l’administration de la Chambre basse du Parlement autour de ce qu’il convient d’appeler aujourd’hui « Affaire Kabund ». L’échange entre le speaker Mboso et l’administration a eu lieu, mercredi 19 janvier dans la salle des Banquets du Palais du peuple.
Accompagné des membres du bureau, Christophe Mboso a circonscrit son propos sur l’incident autour du dépôt de la « démission » du 1er vice-président Jean-Marc Kabund que chacun raconté à sa manière.
« Dès l’annonce des incidents survenus à la résidence privée du 1er vice-président que le bureau a échangé avec certaines autorités, y compris le chef de l’État qui m’a prodigué quelques conseils », a raconté Christophe Mboso qui a, par la suite, effectué une descente chez le 1er vice-président Jean-Marc Kabund et lui a prodigué quelques conseils, notamment en lui demandant de ne pas démissionner, de quitter momentanément sa résidence.
Avant d’inviter tout le monde au calme, et surtout d’éviter le colportage. L’administration de l’Assemblée nationale ne doit pas se perdre dans ce débat inutile. Le bureau n’a entrepris aucune démarche visant à nuire qui que ce soit.
Le secrétaire général de l’administration de l’Assemblée nationale a, à son tour, remercié le président Mboso pour avoir accepté, avec cette humilité, d’échanger avec l’administration. « En tant qu’administration, nous sommes apolitiques et travaillons en étroite collaboration avec vous », a réagi le secrétaire général. Il a proposé la mise sur pied d’un cadre permanent d’échange avec l’administration.
Le Potentiel