Invité d’Actualite.cd, Vital Kamerhe a fait le bilan de un an de Félix Tshisekedi à la tête du pays. Il a évoqué plusieurs sujets dont les récentes manifestations parmi lesquelles celle organisée par Martin Fayulu le 17 Janvier à Kinshasa.

« On ne peut pas se réveiller un matin comme ça, on commence à marcher avec des bandeaux blancs sur la tête et vous dites que c’est une manifestation. On respecte la procédure, on écrit au Gouverneur, au maire de la ville où la manifestation aura lieu. Le maire de la ville regarde l’objet de la manifestation et si c’est pour rire ou bloquer la circulation, on vous dira que pour des raisons sécuritaires, on vous rappelle que votre liberté à vous s’arrête là où commence celle des autres », a t-il dit.

Il a également justifié le fait que la manifestation ait été interdite.

« On ne peut pas autoriser aux gens de marcher pour casser des ouvrages en construction. Ça ne se fait nulle part ailleurs. Nous, c’est zéro bombe lacrymogène, tirs réels et le bilan est là (…). Est-ce que dans le passé on pouvait tuer ou blesser un policier sans qu’il y ait du côté des civils 50 qui meurent ? Félicitez quand même le Président Tshisekedi : il a appliqué l’accord de la CENCO. Tous les exilés politiques sont revenus, tous les prisonniers politiques ont été libérés, les cachots de l’ANR sont en train d’être fermés un à un », a t-il ajouté.

Actualite.cd

2 COMMENTAIRES

  1. Dans ce bilan ou tu déclares que tous les prisonniers politiques ont été libéré. Alors je trouve quelque part vos limites pou le cas du colonel Eddy KAPEND.

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