Dans une déclaration politique, l’UNC dénonce l’acharnement et la diabolisation de Vital Kamerhe, son président national et directeur de cabinet du président de la République.

Cet acharnement regrette la Direction politique de l’UNC, qui avait commencé dans les médias et dans les réseaux sociaux, s’est déplacé sur le terrain judiciaire avec l’invitation adressée par le parquet à V. Kamerhe sur le dossier dit de 100 jours.

Selon l’UNC, qui fait bloc, derrière son président, cette invitation est  »d’une grave légèreté ». Pour 4 raisons suivantes:

  1. N’avoir pas eu égard au rang du directeur de cabinet du chef de l’État (rang de vice-premier ministre, NDLR),
  2. L’adresse indiquée n’est pas la sienne,
  3. L’invitation a été déposée à une adresse autre que celle reprise sur celle-ci,
  4. L’invitation a été émise le 3 avril 2020 pour se présenter le 6 mars 2020.

L’UNC prévient qu’elle prête à assumer ce combat qui s’ouvre. Le parti cher à Vital Kamerhe dit qu’il ne se laissera pas faire devant ses ennemis et des opportunistes.

Ainsi, l’UNC sonne la mobilisation générale de ses militants pour les combats à venir.

Enfin, le parti aux couleurs rouge et blanche rappelle son attachement à l’Accord de Nairobi sans lequel CACH n’aurait pas accédé au pouvoir.

La réunion a été présidée par le secrétaire général a.i Aimé Boji Sangara.

Y ont pris part notamment : le ministre d’Etat Eustache Muhanzi Mubembe, le ministre des affaires foncières Sakombi Molendo, Me Gabin Lulendo (Dircab aux ressources hydrauliques et énergie et porte-parole), le VPM Jean Baudoin Mayo, le ministre Billy Kambale, le ministre John Tumba et le Dr Sele Yemba.

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