Le conseil des ministres de vendredi a noté la poursuite de mouvements d’expulsion et de retour des congolais. Aucun chiffre n’a été avancé.

A l’issue de sa rencontre avec son homologue angolais, João Lourenço, en février dernier, le président Félix Tshisekedi avait souhaité qu’il y ait une communication préalable afin de permettre à son pays de se préparer.

Débutée officiellement depuis le 25 septembre 2018, l’opération d’expulsion concernerait plus de 500 000migrants, principalement en provenance de la RDC qui, selon les autorités angolaises, ont quitté le pays volontairement.

Toujours ce mardi, le gouvernement a fait état du retour en RDC par TSHELA, via la République du Congo, d’autres ressortissants de la RDC expulsés du Gabon.

« Mal encadrés à l’arrivée, beaucoup tentent de regagner Brazzaville dans la clandestinité. Il y a risque d’infiltration », note le conseil des ministres.

Entretemps, des soudanais du sud fuyant l’insécurité dans leur pays continuent d’affluer dans le Haut-Uélé, par le poste frontalier de FARADJE.

Actualite.cd

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