«Je mettrai toute mon énergie en tant que leader pour atteindre notre objectif, c’est-à-dire, la transformation profonde de notre pays afin de construire ensemble un Congo prospère pour tous ». Telle a été la déclaration de Moïse Katumbi Chapwe, le 18 décembre 2020, lorsqu’il avait clôturé les deux jours des travaux qui avaient abouti à la création officielle de son nouveau parti politique, « Ensemble pour la République ».
Depuis ce jour-là, toutes les machines étaient déjà mises en marche pour la visibilité en attendant le lancement officiel dudit parti sur toute l’étendue de la République Démocratique du Congo.
Sur ce, le samedi 19 décembre 2020 était le jour que les autorités hiérarchiques de ‘’Ensemble pour la République’’ ont choisi pour installer les drapeaux de ce parti politique au siège national situé sur l’avenue Kasa-Vubu, non loin de la station Ma Campagne dans la commune de Kintambo, à Kinshasa.
Selon les informations reçues sur place, l’implantation du Parti Politique Ensemble est en train de se faire partout pour que le jour du lancement officiel, que ce dernier soit le plus représenté en République Démocratique du Congo.
Il revient de rappeler que le parti Ensemble pour la République vient d’une entente entre plusieurs partis politiques qui étaient encore en coalition dans une plateforme dénommée «Ensemble».
Pour Moïse Katumbi, la création de ce parti est l’aboutissement des consultations que chaque leader politique a initiées avec sa base pour obtenir l’adhésion à cette nouvelle donne.
Steve Ilunga
La prospérité
Le sort De Joseph Kabila
Les amoureux de la littérature française comprendraient facilement que la vie
de Joseph Kabila est une réplique de celle d’Œdipe grec. Si ce dernier a, par
accident, tué son père biologique pour ensuite se marier à sa propre mère,
Joseph a consciemment planifié l’assassinat de Laurent-Désiré Kabila, son père
adoptif afin de s’emparer de la présidence congolaise. Bien plus, Joseph Kabila
S’est adonné à une élimination systématique des fils biologiques de son père
Adoptif. Comme conséquence, le spectre de son père adoptif le poursuit.
Ce petit rwandais n’avait pas l’intention de quitter le pouvoir. S’il l’a cédé de
manière précipitée c’est parce que l’Occident qui l’a poussé à la présidence
congolaise l’a vomis. Ne sachant où donner la tête, Joseph Kabila s’illusionna en
transférant le pourvoir à Felix Tshisekedi avec l’espoir de le manipulé pour
ensuite reconquérir son siège présidentiel. Sur terrain, la réalité est toute autre.
Joseph Kabila se trouve entre le marteau de la mort et l’enclume
de la misère. Son départ de la RDC reste la seule solution pour l’établissement
de la paix en RDC. Sur le plan national, Joseph Kabila est une persona non grata.
Les Congolais ne l’aiment pas et désirent s’en débarrasser le plutôt que possible.
Il est l’incarnation du mal que vit le Congolais au quotidien. Il tue
méthodiquement du jour au quotidien. Sur le plan international, Joseph Kabila
est un criminel au vrais sens de la législation internationale. Ses crimes sont
démontrables au-delà de tout doute raisonnable. Comme l’avait une fois dit
Antonio Guêtres, le Secrétaire General des Nations-Unies, le dossier ‘’Michael
Sharp et Zaida Catalan’’ dont la mort a été commanditée par l’Administration
Joseph Kabila relève de la volonté des américains. Les Occidentaux ne lasseront
Jamais impunis ces atrocités dont Joseph Kabila est l’auteur. Le sort de Joseph
Kabila ne relève pas de la compétence congolaise. Le jour de son arrestation est
déjà fixé. A l’instar de l’Apôtre Paul, le Ciel ne pardonnera jamais à Joseph
Kabila ses péchés immortels.
A tantôt à la Cour Pénale Internationale !!!!