Après l’assassinat de l’ambassadeur italien, son garde du corps et un chauffeur du Programme alimentaire mondial (PAM), les autorités congolaises sont montées au créneau pour donner leur version de l’attaque. Elles pointent du doigt les rebelles des Forces démocratiques pour la libération du Rwanda (FDLR). Malgré l’appel lancé aux groupes armés de la République démocratique du Congo par le président Félix Tshisekedi en 2019 et les nombreuses tentatives d’instaurer la paix depuis 20 ans dans l’est du pays via l’intégration des miliciens dans l’armée régulière, les groupes armés continuent d’occuper le terrain. L’ambassadeur d’Italie à Kinshasa tué lundi est semble-t-il tombé dans une embuscade attribuée à des rebelles hutus rwandais, une attaque qualifiée de « terroriste » par le président congolais. Suivez Actu Expliquée avec Fabien Kusuanika.

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